vendredi 9 novembre 2012

Flemme? mais noooooooooooooooooon







En ce moment, je n'arrive plus à trouver le temps d'écrire des articles de qualité. 
Du coup, j'ai décidé que j'écrirai des articles très court, mais de manière plus régulière.
Il m'est arrivé pleins d'aventures depuis mon retour de Budapest!
Un changement d'études.
Une nouvelle ville.
Des nouveaux amis.
Un nouveau mode de vie.
Une vie à deux.
bref, Pleins de belles petites choses, beaucoup de stress, d'angoisse aussi. Mais, je ne vais pas me plaindre, et j'ai plutôt réussi à gérer la situation. je pense.
Ceci est donc un article, en soit, vide de sens, a prendre comme une notification, du genre:

"Nous avons le plaisir que l'auteur du Blog Plume de corbeaux n'est pas mort. Il était juste dans une sorte de coma du à un changement de rythme, d'un peu de feignantisse, et de fatigue. Suite à un diagnostic de sa santé physique et mentale, nous pensons qu'il pourra reprendre une activité normal d'ici peu.
merci de votre compréhension"

Si en fin de semaine prochaine, je n'ai rien écris de nouveaux. Vous aurez le droit de me le faire remarquer.

cordialement

Mr Du Corbeau


ps: je ne me suis pas relu.

jeudi 23 août 2012

♫ Un joyeux non-anniversaire! A vous! A moi? ♫


Lundi 20 août, c’était mon anniversaire.

Notre anniversaire, c’est un peu le jour où l’on devient un peu narcissique, et que l’on souhaite que tout le monde pense à vous.  Du coup, vous l’annoncez à chaque personne que vous croisez deux trois jours avant, vous vérifiez que sur Facebook que c’est bien affiché.

Moi, je n’ai rien fait de tout cela ! Faut dire que j’étais encore sur mon petit nuage de retour des vacances de Paris (je vous raconte ça bientôt !), mon anniversaire, c’était un peu optionnel dans mon esprit. Je ne l’avais même pas annoncé sur FB ! C’est dire !

L’avantage, c’est que j’ai pu voir qui se souvenait de la date de mon anniversaire. Et on se rend vite compte que c’est vraiment les amis proches  qui ont de la mémoire. Et ceux qui ont oublié. Mais qui sont proches. Eux je ne leur en veux pas de me l’avoir souhaité deux jours après. Faut dire que parfois je suis pareil. Si je ne note pas l’anniversaire sur mon téléphone, la probabilité que je l’oublie est très élevée.

Un anniversaire c’est assez marrant. Le lendemain, j’ai laissé un petit message sur face de bouc, pour remercier les gens qui me l’ont souhaité. Et là, j’ai bien ris. D’un coup, pleins de personnes me l’ont souhaité en s’excusant du retard. En même temps, je ne peux pas leur en vouloir, ils ne connaissaient pas ma date de naissance, donc c’est normal non ? Et pourtant, j’ai eu des « désolé pour le retard mais bon anniversaire » et ça, j’en ai eu plein. Et ça fait quand même plaisir !

Narcissique ? Carrément ! On dit qu’on s’en fou, mais au final, ça fait bien plaisir un petit message !

Vous n’êtes pas d’accord ?

vendredi 10 août 2012

vacances

MOI?
je vous rassure, je suis toujours vivant, mais simplement en vacances. Je pensais que j'aurais plus de temps pour vous pondre de beaux articles, mais en fait c'est un peu le contraire. Je n'ai pas trop de temps, ajoutez à cela une grosse flemme, du bricolage et d'autres petits trucs, qui font que je n'écris pas.
Mais non, ce blog n'est pas mort.
Je reviens bientot.
sur ce, je vous laisse, j'ai une valise à préparer, je m'envole demain pour Paris, faudrait pas que j'oublie quelque chose!
Profitez bien du soleil!
Et pour ceux qui bossent, bon courage!

vendredi 22 juin 2012

Un mois...4 semaines... de vie anglaise

et on continue avec mes aventures en terre anglaise qui se sont déroulés de fin septembre 2010 à décembre 2010.


Un mois. Un mois que je suis arrivé en terre anglaise, pays où les gens disent qu’il y pleut tout le temps. Aujourd’hui, je peux vous affirmer le contraire ; deux semaines sans pluie, du soleil presque tout les jours ! Il est vrai qu’il manque parfois quelques degrés qui m’éviteraient  de devoir sortir les gants et l’écharpe.

Un mois en immersion dans la langue de Shakespeare, que cela soit sur le lieu du stage, qui se déroule pour le moment très bien, ou que ce soit dans la colocation que je suis. En effet, depuis trois semaines, j’habite une petite maison avec deux anglaises, de 21ans et 22ans.  Il n’y a rien de mieux pour progresser, discuter, discuter et encore discuter. Heureusement, quand il m’arrive de ne pas pouvoir dire un mot, j’ai toujours, à porter de main, mon petit dictionnaire de poche.  Une colocation apporte bien des surprises : un frigo vide, preuve que souvent, la cuisine et elles ça fait deux. Un  niveau de français très bas.
Quand je leur ai demandé ce qu’elles connaissaient en français, j’ai eu droit aux paroles de la chanson de Lady marmelade de moulin rouge… J’ai aussi découvert, qu’il existait ici, le même type de série que « plus belle la vie », manque de chance pour moi, une des colocataires, en suit trois : Hollyoaks, EastEnders et EastEnders E20. Le seul point positive c’est que j’apprends du vocabulaire…




Et donc après un mois en Angleterre, il est temps pour moi d’aller enfin, pour 5 jours visiter la capital, toute une aventure en perspective.


On voyage aussi avec:  Gaëlle en Egypte

La semaine prochaine, on commence ma visite de Londres!

jeudi 14 juin 2012

L’Angleterre, une contrée lointaine de l’autre coté de la manche…

Et voilà, la suite de mes articles consacrés à l'Angleterre!

Enjoy!


Si un jour les moyens de transports viennent à être immobilisés par la neige, ce n’est pas le Royaume-Uni qui est isolé mais le continent.
 S’il vous prend l’envie, une fois, d’aller en terre Anglaise, il y a quelques petits détails à ne surtout pas négliger, qui pourraient vous sauver la vie ! Non je vous assure je n’exagère pas.


Bien que le Royaume-Uni fasse partie de l’Union Européenne, il en reste néanmoins très

attaché à sa monnaie : la livre sterling « £ » (si il vous prend l’envie d’en savoir beaucoup plus sur cette monnaie, je pense que ce cher Wikipédia vous aidera). Il vous faut donc penser à aller à votre banque pour obtenir de la monnaie, vous renseigner sur le taux de change, et sur les éventuels frais supplémentaires que peuvent entrainer un retrait ou un achat par carte bancaire. Et en présence d'anglais dites: "one pound" et non "one livre"


Dans votre sac de voyage n’oubliez pas non plus un accessoire indispensable : le parapluie ! Mesdemoiselles et Mesdames, si vous faites partis de celles qui ne veulent absolument pas friser, vous saurez ce qu’il vous reste à prendre. Car oui c’est une évidence, il pleut. Souvent. Mais pas tout le temps…


Si votre rêve est de rouler à gauche, venez faire un tour de l’autre coté de la manche. Les anglais roulent à gauche, et ont donc le volant à droite. Normal me diriez vous. Dans un premier temps ça surprend mais après plusieurs trajets assis sur le siège passager, (qui est à la place de notre volant en France donc ne vous trompez pas de coté, vous vous asseyez à gauche.), on prend vite l’habitude. Tant que l’on n’a rien à faire. Maintenant le détail à ne pas négliger qui pourrait vous sauver la vie : en tant que piéton, nous avons l’habitude de regarder à gauche puis à droite pour traverser une rue. OUBLIEZ CA ! En Angleterre, regardez d’abord à droite puis à gauche. Vous éviterez ainsi de manquer de peu de vous faire renverser par une voiture…





Pour finir ; pour ceux qui aiment s’emmêler dans de grandes conversions, nos amis british utilise le Yard le Miles, quand nous utilisons le Mètre et le kilomètre. Sachez donc que, si mon convertisseur ne se trompe pas :
1m = 1.09 yards
1km= 0.62 miles.
Je pense que vous êtes maintenant presque prêts pour venir en terre Anglaise. Et pensez à mettre vos montres à l'heure, en enlevant une heure!





La suite, la semaine prochaine!!

vendredi 8 juin 2012

Cela restera un mystère, un secret bien gardé...


photo de Virginie de galzain


 Hiver 1946, ce jour-là, la neige tombait en abondance depuis des jours. Tout le village avait disparu sous cet épais manteau blanc et froid. Chaque jour je bravais ce temps pour aller à l’église et prier ; prier pour être sûr qu’il serait là dans les temps. Notre mariage devait être célébrer la semaine suivante. Puis le jour J arriva. Enfin. La neige avait laissé la place à un ciel bleu mais le soleil ne réchauffait guère ma peau nue sous la robe de mariée. Lui m’attendait à l’hôtel dans son beau costume trois pièces offert par son grand-père. C’était ma mère qui me mena jusqu’à lui, mon père qui aurait dû avoir ce rôle était mort à la guerre, une balle en pleine tête. Fatal. Rien n’aurait pu gâcher ce plus beau jour de ma vie. J’épousais enfin l’homme que j’aimais depuis des années, celui pour qui je pleurais chaque soir dans mon lit pendant qu’il était au front, puis travailleur forcé en Allemagne. Malgré toutes ces épreuves, nous nous sommes retrouvés, et ce mariage était la fondation d’une nouvelle aventure, que l’on mènerait à deux. Nous avions assez économisé pour pouvoir immortaliser cette date et avions fait appel au meilleur photographe de la région. Je voulais que tout soit parfait, avoir assez de souvenirs. Me rappeler de ce jour toute ma vie.

[...]

Le 4 mai 1988, pour mes 62ans, mon mari, mes enfants et mes petits-enfants m’ont offert un cadeau assez original ! Il savait que j’aimais les sensations fortes, du coup, ils se sont cotisés pour que j’aille faire mon premier saut en parachute ! Ce fut une expérience incroyable. Exceptionnelle ! J’avoue, je ne faisais pas la maligne en montant dans le petit avion et tous les bruits me semblaient suspect. Une fois avoir atteint l’altitude requise, il a fallu sauter. J’ai fermé les yeux, pris mon élan avec le moniteur et nous avons quitté l’avion pour entamer une descente vertigineuse, j’étais euphorique, le vent dans les cheveux, je rigolais, imaginant mon visage déformé par le vent. A l’ouverture tout en douceur du parachute, je découvris cette sensation de pouvoir voler, une sensation de liberté total. L’atterrissage se fit en douceur sous les applaudissements de la famille venue assister à mon exploit. Cela méritait bien une bouteille de champagne !

[...]

Parfois la nuit, je me réveillais en sueur, mon corps, mon cerveau tétanisés par la frayeur de le perdre bien des années après cette nuit du 11 novembre 1953. Cette nuit-là, j’accouchais dans la douleur de mon deuxième enfant. Après avoir eu une fille, ce fut un petit garçon qui montra le bout de son nez. Seulement voilà, il avait décidé de commencer sa petite vie un peu trop tôt. Trois mois. Trois mois en avance. Il était tout frêle et maigre, il poussa à peine un petit cri pour respirer. Il fut tout de suite mis en soin intensif, car il était très fragile. Pendant un mois, notre petit garçon resta entre la vie et la mort. Un mois à angoisser, à ne pas dormir, à se relayer à la maternité pendant que l’autre restait auprès de notre fille ainé. Il survécu, et devint un enfant costaud, vaillant et solide, mais dès qu’un des deux tombait malade, je revivais les frayeurs du passé…

[...]

En 2002, mon fils et sa femme étaient partis se faire dorer la pilule pendant deux semaines dans je ne sais plus trop quelle île soit disant paradisiaque, les pieds dans le sable chaud, à l’ombre sous les cocotiers. Il semblerait que c’était génial, fantastique, tellement ils nous ont rabâché pendant des semaines voire des mois ce fabuleux voyage. Oui, mais voilà, pendant ce temps-là,  j’étais de corvée de gardiennage. Certes, à la base je devais juste garder les chiens, et arroser le jardin. Mais c’était sans compter sur mon petit-fils de dix-huit et ma petite-fille de seize ans qui avaient décidés de profiter de l’absence de leurs parents pour se laisser aller, ne rien faire ou organiser une très grosse fête comme j’avais pu le remarquer un matin en venant nourrir les chiens. Déjà dans le jardin il y avait des signes avant-coureurs. Le papier toilette autour de tous les arbres, des gobelets dans l’herbe et même des bombes de couleurs. Je me suis demandé à quoi elles avaient bien pu servir. Jusqu’à ce que je vis les chiens. Du rose, du violet, du rouge et du jaune. Autant de couleurs qu’ils mettront deux jours à enlever du pelage noir des deux labradors. L’intérieur de la maison ressemblait plus à une déchèterie qu’à autre chose. Je crois que c’était la première fois que je poussais une gueulante comme ça après mes petits-enfants.  Le sol disparaissait sous les détritus, il collait, des bouteilles d’alcool gisaient à moitié vide sur le canapé et la cuisine semblait avoir servis de lieu d’expérimentation culinaire. Et je glissai sur l’une d’entre elle, ce qui me mena directement à l’hôpital avec une fracture au bras. D’après ma petite-fille j’avais glissé sur les restes d’un essaie de ratatouille fait à base de concombres, cornichons,  tomates et d’une aubergine suivi d’un accompagnement fait d’un unique macaroni géant d’après mon petit-fils. Je me suis souvent demandé s’ils n’avaient pas aussi fumé des choses pas très légales ce soir-là. Je m’en souviendrais longtemps de leurs expériences. Et eux aussi avec la punition sévère qu’ils gagnèrent au retour des parents.

[...]

L’été de mes 16 ans, restera malgré l’occupation un été spécial, unique, gravé à jamais en moi. Il était rentré depuis peu de la guerre suite à l’armistice de la France, il travaillait pour le forgeron du village afin de se faire assez d’argent pour disait-il, pouvoir m’épouser un jour dignement et que je sois fier de lui. Le travail à la forge était épuisant, d’autant plus en été avec la chaleur combinée des fours et du soleil. J’avais décidé d’aller à sa rencontre un soir à la sortie du travail. Je me souviens que je ne trouvai personne. J’étais assez surprise, d’autant plus que son patron ne travaillait pas. Puis j’entendis un bruit d’eau dans l’arrière cours. Et je le vis. L’amour de ma vie. Nu, l’eau ruisselant sur son corps. C’était la première fois. Ne m’ayant pas vu, je pu prendre le temps de le détailler, et de découvrir ce corps. La lumière orangée du soleil couchant se reflétait dans l’eau coulant le long de son dos qui s’illuminait alors de mille feux. Le travail à la forge l’avait musclé et je me souviens encore m’être perdu dans la contemplation de son fessier. Puis il se retourna, mon corps se paralysa par la honte de l’avoir espionné alors qu’il se douchait. Lui, me regarda surpris, puis rigola. Il attrapa une serviette pour se couvrir et s’approcha de moi lentement. Des années plus tard des frisons me parcouraient encore le corps en repensant à ce moment-là. Il n’avait pas dit un mot. Il a juste posé ses mains autour de ma taille pour me tirer contre lui, il remonta une main le long de mon visage délicatement et il approcha sa bouche de la mienne pour m’embrasser. Bien des fois il m’avait embrassé, mais cette fois-ci était différente, elle annonçait autre chose. Je répondis à son baiser. Il m’emmena vers la caravane où il y avait tout le nécessaire pour dormir, faire à manger, mis à sa disposition par son patron pour l’été. J’étais toute timide. Il recommença à m’embrasser tout en me caressant le corps. Gêné par mes vêtements il commença à me déshabiller lentement, tout en douceur, me couvrant de bisous dès qu’un bout de peau apparaissait d’entre mes habits. Je rougissais devant lui à l’idée de me savoir nue. « Garde tes boucles d’oreilles comme ça, tu seras encore habillé »  m’avait-il dit ça avec un petit sourire amoureux. Me voyant encore un peu timide, il enleva sa serviette et  prit mes mains pour les poser sur ses fesses. Sa peau était douce, il sentait bon. J’osai enfin découvrir chaque coin de son corps. Nous nous allongeâmes sur le petit lit, et nus, nous reprîmes l’exploration de nos creux, de nos peaux. Mes doigts couraient le long de ses bras,  ondulait tel un serpent autour de ses pectoraux musclés, sautaient d’abdominaux en abdominaux tel une grenouille, ma bouche embrassait chaque parcelle de cette peau si douce. Lui n’était pas en reste, ses doigts frôlaient mes seins nus, me procurant des frissons de plaisir, ses lèvres et sa langue partaient à la recherche des parties de mon corps où le plaisir serait le plus fort, où sous la pression de sa langue je m’abandonnais totalement à lui. Ce fut notre première fois, je m’en souviendrais toute ma vie, d’autant plus qu’à l’époque, faire l’amour avant le mariage était plutôt interdit. Mais je ne regrettais rien, tellement nous avions été en osmose, où chaque regard valait mille paroles… Un mois plus tard il fut envoyé en Allemagne en tant que travailleur forcé, nous nous étions promis de s’attendre et qu’à son retour nous nous marierons.

[...]

La vie parfois vous quitte aussi vite qu’un Tampax d’entre vos jambes disait une vieille amie, je n’ai jamais su d’où elle sortait une comparaison de la sorte. Toujours est-il que je n’ai jamais cru les gens qui supposaient que l’on voyait notre vie défiler devant nos yeux quand on mourrait d’une manière brusque. Enfin jusqu’à aujourd’hui. Je n’avais pas prévu de quitter ma petite vie en ce bel après-midi. Mais il en a été autrement. Légèrement violent. Et je les ai vus. Ces moments de ma vie. Plus ou moins important. Ils me sont revenus d’un coup, pour me rappeler que j’avais bien vécu, et que finalement, il était peut-être temps de laisser sa place en ce joli monde. Joli monde quand on sait le voir, si on laisse la haine, la guerre de côté et que l’on apprend à apprécier le vol d’une hirondelle, la brise légère du vent sur votre joue alors que vous vous sentez partir, le sourire de ce bébé si innocent qui ne comprend pas ce qui m’arrive… Même à 86 ans j’ai l’impression de partir un peu trop tôt sans avoir pu dire au revoir. J’espère qu’ils ne m’en voudront pas. Bizarrement, je n’ai pas mal. Mais j’ai un peu froid. Le bruit s’estompe autour de moi, je ne vois plus rien. Je vais enfin savoir ce qui se passe après; le plus grand des secrets de l’humanité; mais ce secret, je l’emporterai dans ma tombe.


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J'espère que vous avez aimé ce petit texte. Le WE dernier, j'ai demandé que mes lectrices d'Hellocoton de me donner chacune un ou deux mots qu'il faudra ensuite placer dans un texte. Les mots à utiliser qui sont sortis étaient les suivants: COCOTIERS, DECHETERIE, PHOTOGRAPHE, VOLER, FRAYEUR, CARAVANE, AUBERGINE, TAMPAX, BOUCLES D'OREILLES, GRENOUILLE, FORGERON, MACARONI, HIRONDELLE
Ces mots que vous avez retrouvez dans le texte que vous venez de lire...

Vous pourrez aussi  retrouver ces mots dans de beaux textes chez:



mercredi 6 juin 2012

Qui a dit qu’il pleut toujours en Angleterre ?



Pour ce Jeudi voyage et les prochains, je vais vous faire découvrir des articles que j'ai écris d'octobre à décembre 2010 quand j'étais en stage à Croydon, à côté de Londres... J'étais obligé de les écrire, il fallait aborder écrire certains point, donc, pour rendre l'ensemble plus agréable à lire, et pour moi plus agréable à écrire j'ai essayé de mettre une touche personnel, afin que ça ne soit pas trop scolaire. Sur blogger je ne peux pas le faire, mais par exemple à la fin de chaque article il y a avait la possibilité d'écouter un morceau des Beatles. Il y aura au total environ 15 articles. J'espère que vous apprécierez...



"J’ai quitté la France, après avoir dit au revoir à la famille et les amis , samedi matin, avec mes 30kg de bagages autorisés. Eh oui juste 30 kilos ! Il a donc fallu faire des choix cruels, ne pas prendre certaines affaires afin d’éviter la surtaxe pour cause de surpoids.  A 9h50 se fut  le départ, sous la pluie, dans un avion de la compagnie Ryanair  qui allait nous mener à Londres-Stanted.
Le seul avantage de cette pluie pour le départ se trouver à quelques kilomètres d’altitude… En effet une fois au dessus de tous ces nuages gris, qui déversaient des quantités d’eau, nous pouvions découvrir un paysage magnifique.  Avec un peu d’imagination, on pouvait voir les nuages formaient des banquises et des montagnes immaculées, l’ensemble illuminé par les chauds rayons du soleil.

L’arrivée à Londres-Stansted se fit sous un grand soleil ; il manquait juste quelques degrés. Je dois dire que j’ai eu de la chance, mon maitre de stage est venu me chercher à l’aéroport. Mais si un jour vous voulez aller à Londres et que vous atterrissez là, sachez que le bus vous coûtera entre 2£ et 11£ selon la destination dans Londres.

Dans un premier temps, le temps de trouver un logement prés du lieu du stage, je loge chez mon maitre de stage, à environ une heure de route. Sa femme et lui vivent dans une maison magnifique. Avez-vous déjà lu Harry Potter ?  Si oui, pensez à la maison de la famille Wesley. Leur maison est dans le même style, composée de pleins de petites pièces, de tour et de détour, de poutres apparentes,  et ma chambre se situe au second étage, l’ensemble donne un charme fou à cette maison typiquement anglaise.

Dès le premier soir, nous sommes allés manger dans un petit Pub, perdu au milieu de la campagne, j’y ai découvert la bière et des plats anglais. Ne connaissant ni le fish and ships, ni le Yorkshire pudding ou le Bangers and Mash, j’ai demandé de choisir pour moi. J’ai donc pris le Bangers and Mash : c’est un plat de saucisses poêlées accompagnées de purée de pommes de terre faites maison ; d’oignons frits, de petits pois et de sauce au jus de viande. Je peux vous assurer que c’était très bon.

Cette première journée anglaise s’est finie avec un bon repas dans l’estomac, une bouillotte dans le lit pour ne pas avoir froid et le tout sous un ciel étoilé. Qui a dit qu’il pleuvait toujours en Angleterre ?"

La fameuse maison....


La suite la semaine prochaine!



Et on voyage aussi avec:



jeudi 31 mai 2012

Non, je ne suis pas énervé, juste révolté...



Aujourd'hui, sur twitter,  SliverBD (créateur du projet 17 mai) a publié une photo d'un commentaire qu'il avait laissé sur la page d'un candidat aux législatives qui avait lancé un sondage sur "le mariage homosexuel doit-il être légalisé". (le lienpour son sondage)  Bien entendu ce cher candidat monsieur Antoine Bordier est contre, fait preuve d'homophobie qu'il nie bien entendu: il  lance son appel à la Mobilisation générale pour défendre le Mariage “NORMAL” et la Famille “NORMALE”. Il se trouve que c’est le « oui » qui est en tête alors qu’il espérant que ça soit le « non ».

 Pour lui l’heure est grave, (le second articleen réponse au fait que le sondage n’aille pas dans son sens), il faudrait inverser la tendance car il serait anormal selon lui que le OUI l’emporte le 31 mai à minuit. Il milite pour un référendum. Bref, devant autant de paroles archaïques et rétrogrades, je me suis senti obligé de lui répondre, en espérant qu’il publiera mon commentaire et qu’il y répondra.  Mais j’en doute un peu mais j’espère…

Mon commentaire :

« Sachez monsieur, que le référendum n'est pas toujours une solution approprié. En quoi cela gêne qu'un homme souhaite se marier avec un autre homme, en quoi cela gène qu'une femme souhaite se marier avec une autre femme? Et puis  personne ne réclame le mariage gay. Juste une égalité des droits, un mariage pour tous, le même mariage pour tous. avec les mêmes droits, et les mêmes devoir, le droit de se marier, ou ne pas se marier.

 Si vous êtes marié, je vous pose la question: avez-vous demandé à votre voisin, à votre patron, à un chauffeur de bus, de taxi, à la caissière, etc l'autorisation d'épouser votre femme? Non, je ne pense pas. Pourquoi? Car cela ne les regarde pas. C'est votre vie privée. Alors un référendum qui jugerai une vie privée? Qui sommes-nous pour juger les choix de ses hommes, de ses femmes?

 Ces personnes souhaitent juste être considéré comme tout le monde.
Vous semblez avoir une dent contre le soi-disant lobbying gay, mais, vous savez, si on était tous égaux, avec un mariage pour tous, les mêmes droits pour tous, alors ces lobbying n'aura plus lieux d’être.

Maintenant un peu d'histoire: le 9 octobre 1981, 63% des français  étaient favorables au maintien de la peine de mort, or ce 9 octobre 1981, grâce à Robert Badinter la loi N°81-908 était voté pour l'abolition de la peine de mort. Comme quoi, parfois, il ne faut pas attendre l'avis de la population, il ne faut pas attendre, "prendre le temps" que la société évolue d'elle même, il faut parfois l'y aider!

Je vous demande aussi, que faites-vous de ces familles homoparentales? Vous les ignorez? Elles sont des parias de la société? Car il faut arrêter de se voiler la face, la "famille" a évolué!
Il y a des familles composées de deux pères ou deux de mères. Et les enfants se portent à merveilles, ils peuvent aussi avoir un équilibre de vie parfait. Ils peuvent être heureux. Mais pas complètement, tant que la société les montrera du doigt, les considérant comme "anormaux", Ils ne pourront être heureux, intégré, que s'ils ont accès aux mêmes droits qu'une famille hétéro.

En conclusion, je dirais que le mariage pour tous, la reconnaissance des familles homoparentales ne peut être que bénéfique pour la société. Mieux vaut une société unis, que divisé laissant de côté certains citoyens. La division, le rejet entraîne la haine, la colère et ça peu importe de quel côté on se trouve. Et je vous rassure, ça ne mettra pas à mal la natalité, etc... Ce n'est pas un fléau.

Cordialement.

Simon. »


Bref voilà, ça me révolte ce conservatisme, cette homophobie etc... Il en va de même avec le racisme, la xénophobie, l'antisémitisme... 



mercredi 30 mai 2012

Les petits riens #01





Vous l’avez sans doute remarqué, en ce moment dans le monde ce n’est pas spécialement la joie. Entre la crise des états européens à l’image de la Grèce, les massacres en Syrie, la famine en Afrique, La chine qui fait semblant d’être une démocratie mais qui tue sans problème dès qu’il y a un problème, le non-respect de notre planète, la pèche à outrance, la destruction de la nature, bref, autant de tristes choses, la liste est bien longue. Il y a de quoi devenir pessimiste à souhait.



Mais selon moi, c’est le moment, d’être optimiste. Nous avons trop tendance à voir les choses du mauvais côté. Il est temps de vous poser deux minutes et de réfléchir à ce qui vous rend heureux, ce qui vous fait sourire. Vous savez, ces petits riens, qui peuvent rendre votre journée radieuse. Sous conditions d’être capable de les voir, et de les apprécier.

J’ai décidé de vous faire régulièrement, un petit article sur un petit rien qui me fait plaisir, me rends content, heureux.

Mon petit rien que j’aime le plus :

Allongé dans le lit, couché sur le côté, mes jambes légèrement recroquevillés, sa main me caresse les cheveux doucement dans un délicat massage, puis parfois, sa main descend au niveau de ma nuque, et reprend ses délicates caresses. Sentir le bout de ses doigts courir sur ma peau, avoir ce contact tant désiré et pendant ce temps-là, mon cerveau se vide de toutes pensées pouvant m’empêcher de m’endormir… J’aime ces moments-là, c’est sur ce n’est qu’un détail, mais qui a son importance… C’est mon petit rien qui me rend heureux et serein…

Et vous ? Quel est votre petit rien ?? 

Je vous propose qu’on essaye d’en trouver un chaque semaine et de le faire partager, pour bien voir que le monde n’est pas si triste ! Moi, j’en ai des dizaines en stock… A vos claviers amis bloggeurs !





vendredi 25 mai 2012

Rien que pour le plaisir du sexe...

Chaque personne a sa propre vision de ce que doit être une relation sexuelle, avec qui il faudrait l'avoir, comment, ou, etc... Bref, quand il s'agit de sexe nous sommes dans l'ensemble tous différents. Et heureusement! Parce que sinon qu'est-ce qu'on s'ennuierait! Et surtout sexe et ennuie ne doivent pas aller ensemble. Une relation sexuelle doit apporter du plaisir, une satisfaction; un soulagement? Certains ne conçoivent la relation sexuelle, qu'une fois qu'ils sont sur que c'est la bonne personne, qu'il y est de l'amour. Ceux qui attente le mariage (Personnellement je pense que c'est un risque, car une bonne entente sexuelle permet souvent un parfait équilibre du couple, et que fera un couple qui vient de se marier et qui a sa première relation sexuelle et que ça ne marche pas du tout?? On aura beau dire qu'il y a l'amour, un jour ou l'autre, ce problème pourrait ressortir. Bref, je m'éloigne de notre sujet du jour.)

« Nini : Perso jamais connu, et je ne veux pas connaitre... Moi je suis plutôt de nature romantique donc moi une "relation" sans amour = couple, bah ce n'est pas pour moi =|... »

Et il y a ceux qui peuvent avoir une relation sexuelle, sans amour, juste pour le plaisir.  Le plaisir de s'envoyer en l'air. Ceci est notre sujet du jour: plans culs d'un soir, PCR...

Et essayer de répondre à cette question: Qu'est-ce qu'un bon Plan Cul?

Pour cela, je vais donner mon propre avis, mais aussi l'avis de lecteurs et lectrices qui ont accepté de répondre à ma question.

Il est important de bien noter le mot « bon » car il y a pas mal de mauvais plan cul.  Celui du dernier espoir, quand votre libido est sur le point de craquer, et que vous, incapable de canaliser vos pulsions, vous couchez avec la première personne venue, souvent après quelques grammes d’alcool, pour éventuellement oublier que cette personne ne vous plaisait pas du tout.

« FDE : bon déjà ; les bons PC, ça court pas les rues... disons (en étant large) que 15% des PC sont bons! Et par bons, je ne parle pas seulement d'atteinte d'orgasme, mais de complicité, d'attirance physique (ben oui, faut pas se voiler la face, ça joue beaucoup) et puis de don de soi aussi! c'est 50/50 d'implication, et je ne supporte pas les mecs qui ne pensent qu'à eux! Exit aussi les fous du volant, faire le meilleur chrono en maltraitant leur monture... bref, du sensuel, du sauvage quand j'en ai envie, et de préférence régulièrement le même PC, quand on commence à se connaitre sexuellement, c'est encore meilleur! voilou pour ma vision simplifiée des choses, ne me lance pas sur ce sujet, j'ai nombre d'exemples à te citer!! »

Il y a ce mauvais plan cul ou votre partenaire à une plastique de rêve, mais une fois nu, il y a le petit détails qui bloque. Car oui, on a beau dire « c’est pas la taille qui compte » c’est faux. La taille a son importance.  Ou comme la fille sublime et qui une fois effeuillée vous présente la forêt amazonienne. Les poils, pourquoi pas, mais faut pas n’ont plus que ça fasse barrage, qu’on s’y perde etc…
Bref, il y a plein de mauvais plan cul !

Règle principal du plan cul : pas de sentiments, juste du sexe. S’il y a sentiments, ce n’est pas la peine d’y penser, ça ne vous apportera rien de bon, sauf si c’est réciproque, mais dans ces cas-là on ne parle plus de plan cul.

« AYY: Punaise un bon PC ça ne court pas les rues de nos jours ^^ Mais à mon avis c'est un mec qui est vraiment génialissime au lit et qu'on peut appeler quand on en a besoin, mais en général on finit toujours avec le mec en question car on a pas trop envie qu'il devienne le PC d'une autre ;) »

Je pense que pour un bon plan cul, il faut qu’il y est une confiance mutuelle des deux partenaires ; qu’ils se connaissent depuis longtemps ou non, et surtout qu’il y est du respect. Même pour un coup d’un soir, il faut ça pour après avoir pleinement l’esprit à prendre son pied !

« Caro : Quelqu'un avec qui tu as confiance, avec qui tu peux te lâcher. Un PC qui reste un PC, pas collant, pas d'sms à tout va... Juste un mec avec qui tu peux passer un bon moment et basta, le revoir en PC régulier ou ne jamais le revoir. »

Un plan cul peut te permettre de faire des choses que tu n’oserais aussi peut –être pas faire dans une relation de couple. Et comme le dit si bien Caro, pour que ce plan cul, en soit un bon, il faut qu’il est compris le principe de juste du sexe, si tu veux remettre ça c’est soit oui, soit non, si c’est non, il ne faut pas insister, et passer à autre chose. Ne pas être un pot de colle !
Un bon plan cul, c’est celui qui t’apporte ce que tu veux, c’est-à-dire du sexe ! Et rien de plus ! Et il faut bien entendu une réciprocité ! Car le : « je te baise comme je veux et tais-toi » c’est mort.

« HHS : celui dont tu n'attends VRAIMENT rien de plus, qui te comble sur le plan cul mais qui pour autant, est clair dans sa tête, ne te traite ni comme une vide couille, ni comme la femme de sa vie. Juste comme une amie avec qui il partage du cul. Oui, c'est plutôt un sexfriend ça, mais mes rares plans cul, ça a été ça. »

Après, si suite un bonne première rencontre où il y a eu : très bonne entente, que le courant est passé, qu’il y a eu une bonne connexion (c’est dingue, là, j’ai le cerveau en mode « esprit tordu » quand j’écris ça, pas vous ?), orgasme et feux d’artifices, alors, peut-être vous déciderez de remettre ça.  C’est à ce moment-là, que vous pouvez mettre sur votre statut Facebook : machin est passé de plan cul à plan cul régulier, si ça ce n’est pas de la promotion canapé ! (ah ? on me dit, que ça n’est pas possible sur Facebook, pas grave). Le plan cul régulier devient un peu plus délicat à gérer, car le risque que l’un des deux développe des sentiments augmente.  Mais bon, quand on est parfois dans une période de sa vie ou l’on a pas envie de s’engager, le PC est une bonne alternative pour ne pas rouiller !

bout d'affiche du film "sexfriend"


« Baptiste :Bon, qu'est-ce qu'un plan cul ? Je pense personnellement que le pont de vue dépend de la personne, a la base beaucoup se laisse à penser qu'il s'agit d'un simple vidage de couille (pour les mecs), pour moi il s'agit d'une erreur, sinon masturbez-vous, ca va plus vite, plus simple... Non pour moi, le pc est l'occasion de partager avec quelqu'un de bons moments, pour ce qui est de mon cas j'aime bien rire au pieu je chercherais donc plutôt une nana qui aime déconner. Certains préféreront des rapports plus bestiaux, ce qui parfois est agréable aussi bien sûr !  Le plan cul pour moi est un bon moyen d'identification d'une personne. Et surtout les enfants, un plan cul ça se respecte que ce soit homme ou femme !!! Le sexe est un lien entre deux personnes quel qu’il soit (ca peut aller jusqu'à la haine pour se sexe de vengeance), mais dans tous les cas il y a quelque chose et même ceux qui prétendent qu'ils voulaient juste vider leurs bourses trop pleines , auront quand même ne serais-ce que l'espace d'une seconde apprécier le partenaire. Rappelez-vous ce qu'on jette a a la fin d'un câlin, c'est la capote, rien de plus.
Moi je vois mes plans culs comme des amies avec extra disons, en revanche il est très important d'être sûr de ces sentiments envers la personne, je ne déconseille pas de tomber amoureux de son pc, mais ca peut faire mal si c'est a sens unique, et a partir du moment où il y peine, ce n'est plus un plan cul, c'est du drama :p. »

Autre détail important d’un bon plan cul, régulier ou pas : il ne faut pas de jalousie ! Un bon PC comprendra que vous ayez parfois plusieurs partenaires. (Il peut même y avoir possibilité de  faire des rencontres groupés ! plus on est de fous plus on rit non ? et comme le sexe, ça ne doit pas être du sérieux)


« A : Pour moi, les bons PC sont des PCR (plans culs réguliers), car il faut un minimum de connaissance de son partenaire pour arriver à une alchimie satisfaisante.
Un bon PCR donc ne te demande pas de sortir en boîte ou au resto, il ne dénature pas ce pourquoi vous vous voyez, il ne rajoute pas la dimension "publique" à la relation. Un PC c'est perso entre deux (voir plus) personne, pourquoi donc sortir de l'appart ?
Un bon PCR laisse une complicité hors coït s'installer. Ben ouais, on est pas obligés de baiser dès qu'il ouvre la porte d'entrée non plus... Un verre, un racontage de journée en règle, quelques petites vannes avant de passer aux choses sérieuses vont encore plus souder ce lien si particulier qui finalement vous unit. Alors le bon PCR se concentrera sur l'intro certes mais aussi sur la conclusion : nul besoin d'user d'excuses foireuses pour dégager la demoiselle, normalement si les règles du Pc ont été correctement fixées dès le départ, elle s'en ira d'elle même dans un délai raisonnable.
Un bon PCR sera évidemment un bon amant, et pour cela il aura acquis de l'expérience. Alors il n'aura pas besoin de parler de toutes ses conquêtes (sauf si la nana demande, moi j'suis super curieuse, mais par esprit de découverte...) mais son savoir faire se sentira à travers son assurance et sa confiance en lui. Et bien souvent la confiance en soi rattrape bien des défauts mineurs.
Un bon PCR restera dispo, il s'arrangera pour recevoir une proposition puis proposer à son tour. Si toutefois il doit décliner une date, il en soumettra immédiatement une autre à la demandeuse, un rdv est toujours décalable !
J'ai tartiné... Mais c'était un sujet facile :) »

Mais, surtout N’oubliez pas une chose importante : Protégez-vous ! Le préservatif doit être un automatisme ! Car lors d’un plan cul, vous ne connaissez pas nécessairement le passé de la personne, donc, pour éviter toutes mauvaises surprises messieurs vous mettez une capote, et mesdames, vous insistez pour que monsieur se couvre. Et s’il refuse, vous lui montrer gentiment  la porte si c’est chez vous, (plus compliqué si ça se fait sous un porche, ou dans un champ, etc..) bref, dites-vous qu’il y en aura d’autres !

J’espère que ce petit article vous aura plus, merci à tous ceux qui m’ont aidé à l’écrire. Moi je me suis bien amusé à écrire ce petit article sexo ! J’en referai d’autre ! Si vous voulez que j’aborde un sujet, faite le moi savoir ! 


vendredi 18 mai 2012

Qui sommes nous pour juger une sexualité?



« Tu m’aimes ? »
« Oui ! Plus que tout au monde »
« Tu veux vivre avec moi ? »
« Oui, c’est avec toi que je veux vivre, et être heureux »

On tombe amoureux d’une personne, pas un genre. Il se trouve que parfois, c’est un homme, parfois une femme.

 Un homme qui aime une femme,
 Une femme qui aime un homme,
 Un homme qui aime un homme,
Une femme qui aime une femme.

En quoi cela nous regarde ? Qui es-tu, qui sommes-nous pour juger ?

Hier, c’était la journée contre l’homophobie. Le 17 mai. L’organisation Mondial de la Santé (OMS) n’a retiré l’homosexualité de la liste des maladies mentales que le 17 Mai 1990.

Je rêve du jour où cette journée n’aura plus lieu d’être. Pourtant il y a encore un grand nombre de personnes qui ont des comportements, des paroles homophobes.

« Je ne comprends pas pourquoi ! » On ne te demande pas de comprendre, il n’y a rien à comprendre, c’est comme ça, point.

« Il/Elle est homosexuelle. » Il y a rien de plus énervant de réduire une personne à sa sexualité ! Merde ! c’est leur vie privée !



Et puis il y a ces insultes, utilisé au quotidien… « putain, c’est vraiment un jeu de tapette », « Quoi, t’a peur ? allez, fais pas ta tafiole » , pédale, pédé, tarlouze, tantouze, etc…  Ces mots qui font mal, qui blessent, qui peuvent tuer. Des gens qui en plus de ne pas être accepter, qui subissent ces insultes, volontaires ou involontaires, craquent du fait de ne pas avoir de soutiens. Et se suicide.

Nous vivons dans un monde merveilleux. La France pays des droits de l’homme. Liberté, Egalité, Fraternité. AH BON ? Je ne crois pas non.

«  Bonjour, je voudrais donner mon sang, je suis O négatif, je sais que vous en avez besoin »
« oui, tout à fait Monsieur ! »
Puis vient les questions sur la sexualité…
« Oh, vous avez des relations avec des hommes ? Cela ne va pas être possible »
« Pourquoi ? J’ai une relation stable depuis des années, nous sommes un couple monogame, et nous ne sommes pas malades »
« Je suis désolé, vous ne pouvez pas. Merci. »

Mentir. Voilà, la seule solution, pour faire ce qui semble juste et sauver des vies.

Je rêve qu’un jour, le pape, Boutin, Vanneste, ou toute autre personne homophobe est un accident qui nécessite une transfusion sanguine, et qu’après coup on leur annonce : « ceci était le sang d’un gay, d’une lesbienne. Il, elle vous a sauvé la vie. » J’aimerai alors voir leur tête.

La peur. Pourquoi avoir peur de la différence ? Elle est une véritable source d’enrichissement personnel, d’ouverture au monde…

Certains osent dire, que l’homosexualité mènera à la perdition de l’Humanité. Bon, déjà, il ne faut pas oublier qu’on est un peu trop nombreux sur terre, donc, moi je dis, c’est peut être ces quelques gays, qui sauveront l’Humanité ! Va dire ça à un religieux, je pense que ça lui ferait mal au cul d’imaginer ça.

Trêve de plaisanterie.

Il faut arrêter de juger, d’essayer de mettre les personnes dans des cases, d’avoir des stéreotypes. Non, tous les gays ne sont pas : « folles » « efféminés » « canon super musclé avec un corps huilé » « cuir et clou » etc… et les lesbiennes ne sont pas : « des camionneuses » « cheveux court, des tatouages de partout » etc…

Sachez que cet homme en costard qui part travailler, avec une voix grave, une barbe de trois jours est peut-être gay.

«  ah ? Je le pensais hétéro, il ne fait pas gay du tout » comme si ça devait être marqué sur son visage ! Et ta mère, ça se voit sur son visage qu’elle aime les fessés ? Que ton père aime que ta mère ait un doigt vagabond ?

 « Elle est en couple avec une femme ? Jamais je ne l’aurais pensé ! Une si belle femme, si féminine »
Ah, la connerie… Les préjugés…

Je pourrais continuer longtemps à parler, il y a tellement de choses à dire ! mais je vais m’arrêter là.

Et pour en voir plus, sur le sujet, je vous conseille d’aller voir le site : www.projet17mai.com un projet mené par Silver et Pochep, et 70 dessinateurs contre l’homophobie. De magnifiques dessins…


Ah, oui, j’allais, oublié, quand, il y aura les législatives, aidé la gauche à obtenir une majorité parlementaire. Il faudra ça, pour que l’égalité soit accordé à tous.

Je sais, cet article était un peu brouillon, mais j’écrivais ce qui venait…

Merci !


jeudi 10 mai 2012

A la vie...jusqu'à la mort...

Devant mes yeux clos, une écharpe de brume, 
Légère et froide me couvris de son manteau. 
Incapable de prononcer le moindre mot 
Dans ma bouche naquit un goût d'amertume. 


Déposant un voile sur mon existence 
Effaçant le reste de mes souvenirs 
Sans aucune possibilité d'avenir 
Disparaître pour une éternelle absence 


Dépossédé de mon enveloppe charnelle 
Je perdais ma rouge et précieuse essence de vie 
Ainsi immobile pour une éternelle nuit 


Il en est ainsi pour le commun des mortels 
On essaye d'y résister, mais rien n’est plus fort. 
Personne n’échappe à la morsure de la mort. 




Parce que la dernière fois, je vous ai présenté un sonnet inspiré des fleurs du mal de Baudelaire, version Idéal, voici, maintenant le coté Spleen… Aussi écrit quand j’avais 16ans. Une amie l’avait même mit en musique. Je vous rassure, je vais très bien, mais j’aime écrire sur la mort, comme sur la vie, car l’un ne va pas sans l’autre. Il faut savoir l’accepter. C’est comme cela que l’on peut ensuite mieux profiter de la vie… 






Et vous, profitez-vous suffisamment de la vie ? De ces petits riens ? Et surtout, êtes vous heureux dans ce que vous faites tous les jours ?

mercredi 2 mai 2012

L'Abus de sécurité peut nuire à votre blog.

Des élections ? Quand ? En France ? Dimanche ? ok ok. Peu importe, ce n’est absolument pas le sujet de cet article.

Aujourd’hui, nous allons parler de ce petit détail qui agace ENORMEMENT d’internautes qui visitent des blogs et qui veulent laisser un commentaire. Ces internautes qui abandonnent l’idée de laisser un commentaire à cause de ce détail.

Quel détail ?

CAPTCHA ! Un mot bizarre ? Je vous l’accorde. Il y en a qui ne savent ce que c’est ? J’ai fait une petite recherche avec l’ami Wiki :

« Un CAPTCHA est une forme de test de Turing permettant de différencier de manière automatisée un utilisateur humain d'un ordinateur. C'est un test de défi-réponse utilisé dans le domaine de l'informatique, ayant pour but de s'assurer qu'une réponse n'est pas générée par un ordinateur. L'acronyme « CAPTCHA » est basé sur le mot capture, et vient de l'anglais Completely Automated Public Turing test to tell Computers and Humans Apart. »

Bref ça : c’est le truc qui embête beaucoup de personnes. (Ah, on me dit à l’oreillette que je n’emploie pas les bons mots), d’accord, je disais donc, le captcha, c’est le système de sécurité qui EMMERDE, qui fait CHIER, (oups, excusez-moi pour l’utilisation de ce vocabulaire).



Parfois les mots que l’on doit recopier sont illisibles, trop petits et le pire, ils ne veulent rien dire. Ils pourraient au moins être marrants. Mais non. C’est juste une perte de temps, car même avec, il semblerait que des commentaires aillent dans les spams, et que des commentaires indésirables arrivent à passer.

Si vous voulez qu’on laisse plus de commentaires sur vos blogs, commentaires qui permettent l’échange, et d’avoir un avis, une preuve que l’on est lu, alors, s’il vous plait, supprimer l’option captcha, et garder juste la modération des commentaires avant la publication. Parce que là, y en a un peu marre.



Sinon, j’aime bien laisser des commentaires.

jeudi 26 avril 2012

Destination Budapest #02

LA SUITE DE MES PETITES AVENTURES:

le pont des chaines. 


Je suis à Budapest depuis un petit moment, je vous ai fait part de mes premières impressions, maintenant, je vais continuer à vous en dire un peu plus sur cette ville. Et aussi sur mes aventures assez comiques des premiers jours.

Premiers jours : premières courses.

Bonjour ! Je me retrouve comme un enfant de 5 ans qui ne sait pas encore lire. Du coup, je regarde les images ! J’ai aussi un petit dictionnaire dans mon téléphone. Il m’a servi à moitié. J’ai voulu acheter du sucre en poudre. J’ai acheté du sucre glace. Depuis janvier, je sucre mes yaourts avec.

Il a fallu aussi que je trouve où acheter ma carte de transport pour une période de 5 mois : toute une histoire ! J’ai marché et marché de stations de métro en stations de métro jusqu’à trouver celle qui en vendait ! Oui, je ne voulais pas prendre de transport sans carte ! Et mes pieds s’en souviennent !

Marcher m’a aussi fait découvrir l’architecture de la ville. Il faut lever un peu la tête pour voir la beauté des bâtiments, les petits détails, les statuts, les sculptures dans la pierre… La basilique St Stéphane et le parlement sont juste magnifiques !


Le Parlement Hongrois


La Basilique


Aller au cinéma pour voir The Hunger Games : l’achat du ticket était juste comique. J’ai d’abord parlé en anglais, mais la vendeuse ne comprenait pas le titre en anglais, il m’a fallu lui dire en Hongrois. Donc The Hunger Games  se dit : Az Éhezök Viadala (s’il y en a qui parle hongrois, excusez-moi pour les accents). Pas facile à dire, mais elle a compris, et j’ai pu savourer le film ! En anglais bien entendu. Au début, il n’était pas évident de faire abstraction des sous-titres hongrois.

J’ai aussi testé des bains de Budapest. Pas tous. Pour le moment juste les bains turcs. J’y suis allé un lundi de mars pour la première fois. Nous avons testé les bains de Rudas. (check google pour voir à quoi ça ressemble). Ils sont magnifiques ! Lundi : réservé aux hommes. Ok, pas de souci. Mais ça voulait dire aussi pas de maillots de bain. Juste un carré de tissus d’environ 45cm de côté pour cacher le sexe, les fesses restent à l’air qu’on te donne à l’entrée. Au début ça fait bizarre, mais après tout le monde est comme ça, donc, tu profites juste du moment de détente absolue dans les différents bains : 36°, 28°, 30°, 33°, 42° et il y a un mini bassin à 9°. Je les ai tous testé ! Tous ! Avec la tête sous l’eau. Celui de 9° ça a duré une fraction de seconde. C’est vraiment génial.

Vue depuis la Citadelle


Et se balader le long du Danube en plein soleil, ou de nuit : Un vrai plaisir… c’est agréable, c’est beau. Tout comme monter jusqu’à la citadelle et avoir une vue imprenable de toute la ville ! Aller visiter le « nagy vasarcsarnok » c’est un marché dans une Halle couverte, immense, juste magnifique ! Si vous venez un jour à Budapest, il vaut le détour !

Photo prise au marché.


Bref, voilà, c’est Budapest, vieille ville, avec son charme. 



C'était ma petite participation à Jeudi on voyage! avec Gaëlle qui vous fait voyager en Égypte!




lundi 23 avril 2012

Sarkozy: Pourquoi je ne voterai pas pour toi:

Je m’intéresse de plus en plus à la politique, et ces présidentielles m’ont menés à avoir beaucoup de débats avec des personnes n’ayant pas les mêmes idées que moi. C’est très enrichissant, et c’est un très bon exercice pour essayer d’exposer ses idées de manière claire et plus ou moins convaincante.

J’ai des amis qui ont leur carte UMP et qui soutiennent à fond Nicolas Sarkozy. Une amie à même des posters de lui dans sa chambre. Nul n’est parfait. Et ces amis, ne supportent pas que je critique Nicolas Sarkozy. Personnellement, j’adore ça.

Oui, Nicola Sarkozy, je ne t’aime pas.

Quand je dis sur ce beau réseau social qu’est Facebook (légèrement ironique) « Le score de Marine n'est pas du tout étonnant. C'est officiel, la France est à 20% haineuse, raciste, rétrograde et renfermée sur elle... et il doit en être de même pour une petite partie des votants de Sarkozy. La peur est un bon moteur. C'est triste. » On me tombe dessus.

Car oui, je pense que NS et son gouvernement ont été une vitrine ouverte aux idées nationalistes, fleuretant à l’extrême droite.

Nicolas Sarkozy ne dira jamais qu’il est content du score de Marine le Pen, il faut garder une image « propre » de lui. Heureusement pour lui il a de nombreux valets fidèles prêts à aller lécher le cul du FN. N’est-ce pas Nadine Morano ? Celle là, est une machine à dire des conneries.  Je me demande ce qu’il la retient d’aller prendre sa carte chez marine !

Et elle n’est pas la seule : Bravo à Sarkozy qui après avoir siphonné les voix du FN, il a démocratisé les idées du FN auprès des Français... Copé (président de l’UMP) : "48% pour la droite". Ça s’est dit. Donc oui, la droite, c’est aussi le FN ?

Il faut dire qu’il s’est pris en avance, avec de bons techniciens : Hortefeux, Guéant, Boutin : ils ont été aux gouvernements de Sarkozy et leurs politiques étaient bien ancrées à droite, très à droite.

Moi je pense que la France pourra s’en sortir en étant unie. Et pas en la divisant, en la stigmatisant, pas en créant la peur. Oui, il y a de l’insécurité en France. Sarkozy crée cette insécurité. Avec des ministres comme ceux que j’ai cités plus haut. Avec des membres de son parti comme Vanneste qui tiennent des propos d’un autre âge. Jamais je n’ai entendu le mot ÉGALITÉ sortir de la bouche du président et du candidat. Car il n’y en a pas.

Je ne voterai pas pour lui, car il représente pour moi : une France rétrograde, archaïque, qui se refuse de voir le monde tel qu’il est aujourd’hui : multiculturel, ouvert, multi-ethnique, etc.. Il serait peut-être temps d’accepter tout le monde pour ce qu’ils sont, et arrêter de vouloir imposer une France unique avec un seul visage.



Et mes amis à l’UMP me disent qu’il n’y a pas que le social etc.. Qu’au niveau économique, affaires étrangères Sarkozy est bien meilleure. Je pense que vu la situation actuel, Hollande ou Sarkozy ça sera pareil. Simplement avec Sarkozy nous avons oublié l’importance d’un gouvernement. Si Hollande s’entoure des bonnes personnes qui s’y connaissent dans tel ou tel domaine, alors, il n’y a pas de raisons de s’inquiéter. Moi je m’inquiète plus de la perte de démocratie qu’il y a eu en 5 ans. Alors imaginons 5 ans de plus.

Le 6 mai, votez bien.















dimanche 22 avril 2012

TITANIC: STOP ou ENCORE?

7 lettres qui me sortent par les yeux.

TITANIC :













T comme Torture : je n’en peux plus de voir des articles de partout qui parlent de ce film de James Cameron, oui, d’accord, tu avais 17ans, ou 20ans, ou même 13ans quand il est sorti, tu le connais par cœur, mais là, STOP. Moi, je fais une overdose de Jack et Rose (ça pourrait faire un chouette non pour une marque d’alcool tellement ça me soûle). Oui, c’est une belle histoire d’amour, mais :

I comme Interminable : L’histoire est longue, mais longue… il y a des films qui durent  3 heures, mais on ne voit pas le temps passer, autant là… Franchement, le début, est d’un ennui ! Qu’est-ce que je me suis fait chier quand je l’ai vu. Heureusement, ce qui sauve un peu l’ensemble, c’est les décors, les costumes, et parfois le jeu des acteurs.

T comme Trop : Les filles, et même les gars, Jack et Rose sont de chouette personnage d’un film qui resteront éternellement les mêmes. Mais Léonardo Dicaprio et Kate Winslet sont des acteurs. Juste des acteurs. Ils vieillissent, ont leur propre vie. Donc, franchement arrêtez de fantasmer sur des personnages vieux de 15ans. Essayer de rencontrer des vrais gens, dans la vraie vie, vous verrez, ça sera peut-être mieux que de tomber amoureuse d’un personnage de film qui finit comme un beau bloc de glace au fond de l’eau.

A comme A quand même ! : Oui, il faut le reconnaitre, ce film-là, c’est quand même le plus gros succès cinématographique  de tous les temps ! (de tous les temps : expression de merde quand même), c’est qu’il a tout de même un petit quelque chose. Mais ! mais !

N comme Niais : j’aurais pu dire simple aussi, mais il n’y a pas de S dans Titanic. Un scénario plutôt creux. Nous sommes d’accord, les histoires d’amour ça fait vendre, et ce n’est pas monsieur Cameron qui va nous dire le contraire, il connait la recette : un amour impossible ou interdit, des prétendants méchants à souhait qui se sentent supérieur, une légère touche de sexe ou l’on ne voit absolument rien, ou juste une main sur une vitre embuée, un drame, et un happy end. Ou pas. Car oui, tout le monde le sait dans Titanic, Jack c’est un beau glaçon mort à la fin. Et dire qu’il aurait pu tenir sur la porte qui sert de radeau à Rose. La preuve en photo !  Nous devons voir la mort de Jack comme une tragédie grecque, et qui donne à cette relation amoureuse un statut intemporel. Bref, je m’égare.
vu sur Internet, j'adore le délire


I comme Incontournable : Tellement incontournable, qu’il est ressorti en salle, à l’occasion du 100ème anniversaire de la belle catastrophe. (Dire anniversaire quand on parle d’une tragédie, d’une mort, d’un accident, je trouve ça comique, comme de l’humour noir). Il aurait pu le ressortir en 2D, mais non ! La 3D c’est à la mode, et surtout ça rapporte du pognon ! money money money doivent penser les distributeurs à Hollywood. Je suis persuadé que la 3D à convaincu pas mal de personne à ne pas à aller le voir au cinéma. Sauf les accros. 

comme Catastrophe : Je parle du bateau, car, oui, j’ai été sidéré de découvrir que certaines personnes pensaient que le Titanic c’était juste un film. Un peu de culture les jeunes !  Il y avait aussi c comme cul-cul (jack and rose sont sur un bateau jack tombe à l’eau… « je vole ! » ou pas). C comme Célion Dion, car oui, elle chante LA chanson du film (clique pour l’écouter). C comme Chef d’œuvre, un peu quand même vu son succès, et certaines de ses qualités. Maintenant, il est temps de passer à autre chose quand même.

 A bientôt !